Il se décrit fort comme un bœuf et malin comme un singe.
Elle se qualifie de jolie caille aux yeux de biche.
Après quelques échanges, ils deviennent copains comme cochons et il lui propose une rencontre en chair et en os.
Fine mouche, elle tergiverse longtemps, il en devient chèvre.
Têtu comme une mule, il finit par la convaincre de venir au café où il est connu comme le loup blanc.
Il se couche avec les poules pour être frais comme un gardon. Dormant comme une marmotte, il fait de beaux rêves. Gai comme un pinson, il arrive à son rendez-vous. Pas un chat ! Il fait le pied de grue et doit se rendre à l’évidence, elle lui a bel et bien posé un lapin.
De retour chez lui, il gueule comme un putois : cette bécasse l’a traité comme un chien. Il faut bien appeler un chat un chat, cette tête de linotte a oublié leur rendez-vous ! De quoi devenir chèvre. Au lieu de monter sur ses grands chevaux, il veut une explication.
Un message l’attend. Quelle mouche l’a piquée ? Elle le traite d’ours mal léché, on ne fait pas attendre quelqu’un par un tel froid de canard, elle est sure qu’il a couru deux lièvres à la fois, elle en a assez d ‘avaler des couleuvres…
Nom d’un chien ! Est-ce du lard ou du cochon ? Il a un œil de lynx, elle n’était pourtant pas là. Que s’est-il passé ? Il donne sa langue au chat.
Il prend le taureau par les cornes et lui répond qu’il est inutile de se voler dans les plumes et qu’il y a anguille sous roche. Un nouveau rendez-vous est pris.
En vraie peau de vache, elle arrive avec 10 minutes de retard. Bon il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait une grande sauterelle, plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque, rit comme une baleine, elle ne casse pas trois pattes à un canard. Il reste muet comme une carpe.
En même temps, il ne peut pas lui chercher des poux : lui-même est poilu comme un singe, noir comme un corbeau, frisé comme un mouton, gros comme une loutre, bref laid comme un pou !
Il n’est pas une poule mouillée et se jette dans la gueule du loup. La conversation s’engage : elle tente de lui tirer les vers du nez mais il saute du coq à l’âne en tentant de noyer le poisson. C’est une telle langue de vipère qu’il en a la chair de poule. En plus, elle parle comme une vache espagnole ! Il ne veut pas être peau de vache, mais il a le cafard. Il faudrait avoir une araignée au plafond ou une cervelle de moineau pour ne pas reconnaître un canard boiteux. A force de ménager la chèvre et le chou, il se sent fait comme un rat. Il finit par s’inventer une fièvre de cheval ce qui lui permet de filer comme un lièvre. Il a beau être doux comme un agneau, faut pas le prendre pour un pigeon !
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