Mai 2012, Fayard
Suite et toujours pas fin de mon feuilleton de l'été:
La mort s'invite à Pemberley, P.D. James.
et La mort s'invite à Pemberley, P.D. James. Suite et pas fin!
Contrainte et forcée, j'ai dû interrompre ma lecture à la page 67.
Contrainte et forcée, j'ai dû patienter( m'impatienter!!!) quelques jours avant de retourner dans l'antre de perdition préféré de mon porte-monnaie. Me voilà donc piteuse devant le libraire, tenant à la main l'objet incomplet de mes convoitises...
- "Allez donc le changer... et n'oubliez pas de vérifier les pages!"
Contrainte et forcée de constater que, à l'instar des commentateurs de blogues (1), le libraire ne manifeste strictement aucune compassion à l'égard de la lectrice-groupie interrompue intempestivement dans l'exercice de son péché mignon! La commisération est une vertu perdue dans ce monde de brutes!
(1) Je me permets de rappeller quelques piques de mes "amis"nautes: Normal, c'est l'automne, les feuilles tombent; C'est une farce de l'écrivain; Ben caisse queue tatan pour les écrire c 67 paje; Bah! t'étais pas à 10 pages près quand même!; J'adore ces feuilles qui tombent; J'ai une folle envie de me gausser; Permets-moi de rire de ta main malheureuse...
Antigone II, roi de Macédoine; III° S. av. J.-C. avait raison: Dieu me garde de mes amis ; mes ennemis, je m'en charge.
Contrainte et forcée de constater que le fait de s'apparenter à la tribu des adoratrices de Darcy vous place d'emblée dans la catégorie des blondes sans cervelle: il ne me serait bien évidemment pas venu spontanément à l'esprit de vérifier la pagination du livre remplaçant.....Bien évidemment.........